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Les Nantais laissent passer une belle occasion de s'en sortir
FC Nantes / AC Ajaccio (0 - 0) - 30ème journée (samedi 19 mars à 20h00)
Da Rocha blessé et fatigué.  

Une victoire, une défaite et un nul, tel est le bilan de cette semaine annoncée comme capitale. Un bilan des plus médiocres au regard des formations rencontrées. En concédant le nul aux Ajacciens, les Canaris ont surtout manqué une bonne occasion de se donner un peu d’air, d’autant que les résultats de la soirée pouvaient leur être des plus favorables. Mais une fois de plus, ils ont déjoué et ne méritaient pas plus que ce triste match nul malgré une l’énorme occasion manquée par Mamadou Diallo. Hormis Istres déjà condamné, il reste donc sept formations à la lutte pour le maintien. Le FC Nantes en rencontrera encore deux (Nice et Metz). Mais personne, sauf Serge Le Dizet, n’a envie d’imaginer Nantes jouer sa survie lors de ce denier match à La Beaujoire… Avant cela, il reste à espérer que les joueurs se libèrent enfin, en position de challenger. (F.P.)


(© 2005) FCNantes.com (www.fcnantes.com/0405/ch30apNantAjac.php)
[FCNantes.com] - Avant Match (Analyse)
Résumé du Match

Deux points qu’il faudra aller chercher ailleurs.
Ainsi, cette saison, les Nantais se sont contentés de 4 matchs nuls face aux deux clubs de l’Ile de Beauté, lesquels sont aussi des concurrents directs à la lutte pour le maintien. Les Bastiais, à l’ultime seconde des arrêts de jeu, font la bonne opération de la soirée. Ça n’est évidement pas le cas des Canaris qui avaient l’occasion avec deux points supplémentaires, d’envisager la fin de saison avec un peu plus de sérénité. On ne sait toujours pas s’il leurs faudra plus ou moins de 40 points pour se maintenir. On espère moins, désormais. Il est d’ailleurs assez agaçant de lire partout que le maintien devient essentiellement un nombre de points fatidiques à engranger.

Regrets face aux Corses
Trois actions décisives ont décidé de ces piteux match nuls. A Ajaccio, c’est tout d’abord une boulette de Landreau qui permet aux Corses d’obtenir le nul. Lors du match retour à Bastia, on se souvient du but injustement refusé à Da Rocha pour une faute préalable de Keserü alors que Vanney joua la faute avec beaucoup de métier. Enfin samedi, la hanche de Porato, seul face à Diallo, empêche les Canaris d’obtenir la victoire.

Istres et Ajaccio irrémédiablement derrière Nantes ?
Malgré ce maigre point, les Jaunes n’ont peut-être pas tout perdu samedi. Plutôt que d’obtenir 40 points, c’est bien trois équipes qu’il faut laisser derrière soi. Pour Istres, l’affaire est entendue. En maintenant Ajaccio à 5 points, et forts d’une différence de but largement favorable, les Canaris ont sans doute conservé un écart suffisant face aux Ajacciens, lesquels ont quasiment le même calendrier, pour peu qu’on inverse matchs à domicile et rencontres à l’extérieur (à domicile : Auxerre, Bordeaux, Nice, Sochaux, à l’extérieur : Monaco, Marseille, Lyon, Lille). A moins d’un exploit, Ajaccio ne reviendra pas. Ou alors, il faudrait que Serge Le Dizet continue de calquer son nombre de points sur ceux obtenus par son prédécesseur, lequel n’avait engrangé que deux points face aux huit équipes qui attendent désormais le FC Nantes.

Le public le plus bête de la L1 ?
On ne dira pas que les Nantais ont bien joué samedi. Ce serait évidemment largement abusé. Mais plutôt que d’emboîter aveuglément le pas de spectateurs, le terme de supporters est du plus en plus impropre, qui concourent pour le titre de public le plus bête de France, on précisera tout de même que le début de match des Nantais, à la louche la première demi-heure, était encourageante et parfois séduisante. Ils ont démarré le match pied au plancher et semblaient avoir mis de coté leur piteuse élimination en Coupe de France. La Beaujoire, elle, n’avait pas oublié. Et la moindre erreur était tout de suite sifflée ou accompagnée de beuglements impatients et revanchards, quand ce n'est pas quelques malins de la tribune Océane qui accompagnaient les quelques rares enchaînements corses par des Olés tellement spirituels. La Brigade Loire avait eu l’à propos de déserter les travées. Dommage que tous les spectateurs venus au stade comme on allait aux jeux du cirque antique, n’aient pas suivi le mouvement. Il est temps que ce public comprenne enfin que ce Nantes là est bien loin des lustres d’antan et qu’il est engagé dans une lutte sans merci pour le maintien, synonyme de survie du club !

Hanche Maudite
Chaque quart d’heure de cette première mi-temps a connu son occasion nette, toute nantaise. D’entrée de jeu, c’est d’abord Delhommeau, resté deux actions de suite dans la surface adverse, qui étonne en s’amenant le ballon parfaitement d’une talonnade, avant de tutoyer la lucarne de Porato d’une belle frappe du gauche (2’). Après plusieurs coup de pieds arrêtés pas toujours bien négociés, marque de fabrique de cette saison, Keserü délivre une perfection de corner, pour Olivier Quint qui se fend d’une magistrale reprise de volée de 20 mètres. Porato ne peut que repousser le tir aussi puissant que soudain. Diallo a le mérite d’avoir bien suivi, mais connaît la malchance, à bout portant, de voir le ballon s’envoler au-dessus de la transversale après avoir percuté la hanche de Porato (21’). C’est enfin, 10 minutes plus tard, ce même Quint, qui reprend de volée au second poteau un corner frappé par Keserü et prolongé par Savinaud. Cette fois c’est Laurenti qui se trouve sur la trajectoire. Quint en sourit de dépit, mais Nantes cessera désormais de sourire, tant la fin de sa mi-temps tombe dans l’à peu près, avec au coup de sifflet final, une bronca du public qui libère enfin, de concert, ses mauvaises pulsions.

Yapi sort sous les sifflets. Quelle bêtise !
La seconde période est marquée par le remplacement de Da Rocha, blessé à la cuisse, par Mamadou Bagayoko. Diallo glisse à droite. L’entame de la mi-temps est timide et sans rythme. Pourtant, après un bon enchaînement coté droit entre Savinaud et Yapi, l’Ivoirien, lamentablement pris en grippe par un public aussi « méconnaisseur » que peu reconnaissant (Yapi n’était pas à Boulogne et fut le meilleur joueur avec Toulalan contre Caen), choisit de décaler Diallo qui préfère reprendre instantanément, plutôt que de servir Bagayoko seul aux 6 mètres (52’). L’Ivoirien sortira peu après (62’), remplacé par Emerse Faé moins affamé que face à Caen, avec pour conséquence, un désert de solution au milieu accentué par la propension des Nantais à chercher systématiquement Bagayoko par de longs ballons.

Ajaccio réagit enfin.
Si les Ajacciens sont absents de ce résumé, c’est qu’ils n’ont pas montré grand-chose jusque là, hormis trois timides tentatives d’Edson en dehors du cadre, en première période. Le Brésilien sortira d’ailleurs à la mi-temps. Il arrivera la même mésaventure, dans le courant de cette seconde période à Demont, pourtant principal danger corse et instigateur de la seule phase probante des Ajacciens peu avant le dernier quart d’heure. En 10 minutes, les Corses se procurent leurs deux seules occasions de la partie. Une bonne frappe de Demont oblige Landreau à un bel arrêt (70’). Puis, profitant du laxisme récurent des Canaris lors des remises en touche, Demont adresse un centre parfait, qu’André Luiz, totalement isolé, ne peut reprendre. Par la suite, c’est-à-dire durant le dernier quart d’heure, aucune des deux équipes ne parvient à profiter de l’évidente fatigue de son adversaire. Keserü a enfin sa chance sur une passe en retrait de Bagayoko, mais sa puissante frappe trouve le très bon Porato sur son chemin. Cette bonne action du Roumain lui vaut d’être remplacé dans la minute suivante.

Triste seconde période…
Le FC Nantes cafouilla ensuite sa fin de match, à l’image de cette pauvre seconde mi-temps. Un point c’est peu. Serge Le Dizet a beau dire que ce sera peut-être le point qui fera la différence, il sait bien que ce sont aussi deux précieux points de perdus qui pourraient sonner le glas d’une série record de 42 saisons consécutives parmi l’élite. Après une élimination historique en CFA, ce serait la saison de tous les drames. Les « Gripond démission » se sont perdus au milieu des sifflets. Il faudra un temps oublier ce cheval de bataille pour soutenir enfin Nos Canaris.

F.P.

(© 2004) FCNantes.com (www.fcnantes.com/0405/ch30apNantAjac.php)
le 20 mars 2005

 

 

 
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