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Viorel Moldovan : un buteur marquant
(Chronique, le 9 février 2005)
Photo fcna.fr
« Merci Viorel, nous on n’a pas oublié »
 

Nantes excepté, Viorel Moldovan n’a pas toujours bien choisi ses destinations. La dernière en date lui vaut de terminer sa carrière prématurément. Les mercenaires ont eu raison d’un club tenu par de piètres gestionnaires. C’est une véritable catastrophe pour les supporters du Servette de Genève. Par deux fois, l’international roumain a quitté le FC Nantes, sans qu’on comprenne tout à fait pourquoi. Problèmes physiques, limite d’âge ou problèmes d’argent, toutes les hypothèses sont permises. Claudiu Keserü, aurait certainement beaucoup appris à son contact. Il vaut mieux fréquenter le talent de Viorel Moldovan que le spleen de Florin Bratu. Puisqu’il s’en va, sans espoir de retour, il est bon de lui rendre l’hommage qu’il mérite, tout en souhaitant que le club, souvent oublieux envers ceux qui l’ont servi, en fasse de même d’une manière ou d’une autre. (F.P.)

(© 2005) (http://www.fcnantes.com/articles/050209MoldovanRaccroche.php)

Premier match : il entre, il marque.
Viorel Moldovan est entré au FC Nantes par la grande porte, sur un coup de tête, un soir d’août 2000. C’était match de gala à la Beaujoire, avec Marseille pour adversaire et des tribunes combles malgré le crachin distillé par le ciel depuis le début de l’après-midi. Un public nombreux donc, alléché par la réputation de l’adversaire, le bon départ effectué par les Canaris (avec notamment une victoire 5-2 à Monaco) et la présence sur le banc de la dernière recrue, un buteur, un vrai de vrai enfin, Viorel Moldovan.

Ce fut comme un coup de foudre. Un trait d’amour immédiat entre d’un côté des spectateurs et une équipe cruellement déçus par les prétendants qui avaient précédé le Roumain, les pâles Bjekovic, Bustos, Giallanza, Mazzoni, et de l’autre un Viorel heureux de découvrir un football susceptible de combler ses désirs trop longtemps inassouvis.

Un parcours itinérant
Car avant de s’installer durablement à Nantes, Moldovan avait gagné beaucoup d’argent, il ne s’en cachait pas, mais il avait rarement tutoyé le bonheur, si ce n’est peut-être dans ses jeunes années, au Gloria de Bistrita, le club de sa ville natale, puis au Dinamo de Bucarest. Il avait quitté la Roumanie à 22 ans et entamé une carrière de mercenaire, vendant la précision de ses coups de pied contre des paquets de dollars, ou plutôt de francs suisses, puisque c’est en Helvétie qu’il était d’abord allé monnayer sa redoutable efficacité. Il aurait mérité mieux que ce championnat de valeur moyenne où il faisait joujou avec des adversaires souvent lourds et empruntés, parfois frappés par le retour d’âge. Il empilait les buts, 46 en deux saisons, sans atteindre pour autant le nirvana tellement il survolait les médiocres qui l’entouraient.

Echec en Angleterre
Les Grasshoppers de Zurich, soucieux de rentabiliser leur trésor l’avaient alors vendu en Angleterre. Or, Viorel Moldovan s’était ennuyé dans les brumes de l’industrieuse Coventry, attendant vainement des ballons qui lui passaient largement au-dessus de la tête. Il n’était pas fait pour le jeu physique, dénué d’intelligence, qui est souvent de mise dans les classes moyennes du football britannique. Il avait aussi découvert que, nonobstant les tacles et les défis physiques aériens, les contacts humains ne constituent pas forcément le point fort des joueurs de son autrefois gracieuse Majesté. Viorel avait astiqué le banc et disputé seulement 10 matches, soldés par un très maigre butin : un tout petit but.

Il était revenu en Suisse, le temps de vérifier sa précision de buteur-horloger, 17 buts en 19 matches avec les Grasshoppers, puis il avait tenté une nouvelle aventure en Turquie, à Fenerbahce. Elle s’était avérée concluante, sauf que le calme Viorel avait du mal à s’habituer à l’exubérance et aux excès de supporters prompts à piétiner les terrains secrets de leurs idoles.

Le courant était passé tout de suite
« Je veux partir » avait-il dit en regagnant la Suisse où, un soir de juin 2000, il était tombé par hasard sur la retransmission télévisée de la finale de la Coupe de France opposant Nantes à Calais. Il avait alors tout apprécié : le jeu, pourtant pas folichon durant ce match-là, l’état d’esprit et la victoire des Canaris. Deux mois plus tard, et sans qu’il existât un lien évident entre les deux événements, il avait posé ses valises sur les bords de l’Erdre. Pour l’acquérir, le FC Nantes avait battu son record de dépense en matière de transferts : il avait signé un chèque de 32 millions de francs. Mais il a fréquemment beaucoup plus mal placé son argent.

Car tout de suite, le courant était passé entre Viorel Moldovan et ses nouveaux coéquipiers. Lui découvrait enfin le football collectif et offensif qu’il avait toujours rêver de pratiquer, les autres voyaient arriver le buteur qui leur manquait cruellement pour concrétiser leurs bonnes intentions sur les tableaux d’affichage. Viorel avait certes débarqué avec quelques kilos superflus mais Georges Eo l’avait soumis à un travail intensif et Raynald Denoueix avait donc décidé de l’inclure dans son groupe pour la rencontre face à Marseille.

La qualité d’être là au bon moment
C’était le 19 août 2000 et longtemps les Jaunes avaient peiné face à une équipe marseillaise solide et accrocheuse. Salomon Olembé avait certes répondu à un premier but de Jérôme Leroy mais, à la 64è minute, Marcelinho, sur coup franc, avait redonné l’avantage à l’OM. Deux minutes plus tard, Denoueix lançait Moldovan sur le terrain. En deux temps et quelques mouvements, le Roumain démontra qu’il était fait pour l’équipe nantaise. « On y joue si bien au ballon, » dira-t-il. Les Canaris égalisèrent par Nestor Fabbri. Et puis, à la troisième minute des arrêts de jeu, ils bénéficièrent d’un dernier corner. Une ultime chance. Ziani le botta devant le but où Abardonado, du haut de ses 184 centimètres, surveillait étroitement Moldovan. C’est pourtant la tête du Roumain qui se projeta la première sur le ballon pour l’expédier au fond des filets de Trévisan. Moldovan n’était pas très grand, 1,77 mètre, mais il possédait le juste « timing ». Nantes l’emporta 3-2.

Ce fut le début d’une belle aventure qui conduisit Nantes à la conquête de son huitième titre. « Viorel, assurait Raynald Denoueix, possède la qualité d’être là au bon moment, c’est la qualité de tous les grands buteurs, cela s’appelle le flair. »

11 buts en 2000-2001
Moldovan n’était pourtant pas seulement un renard des surfaces jaillissant à l’instant décisif, il détenait aussi l’art d’embarquer ses adversaires sur des fausses pistes pour mieux resurgir à l’endroit et à la seconde où il n’était plus guetté, il savait enfin se montrer très altruiste. Son adaptation au jeu nantais fut une complète réussite et il marqua 11 buts au cours de la saison 2000-2001. Il en avait également marqué 5 en 5 matches de Coupe de l’UEFA dont trois en un seul match, face aux Ukrainiens de Krivoi Rog. Déjà, pourtant, il avait raté 11 rencontres car s’il avait un moral de fer, forgé par son passage dans des pays et des cultures différents, sa musculature avait parfois la fragilité du verre. Elle lui compliqua en tout cas l’existence au cours des deux saisons suivantes : il ne disputa que 17 rencontres (5 buts) en 2001-2002 et 17 encore (4 buts) en 2002-2003.

« Merci Viorel, nous on n’a pas oublié »
En outre, Viorel se sentait nettement mois à l’aise dans le football d’Angel Marcos que dans celui de Raynald Denoueix et s’il ne laissa pas percevoir sa colère plus souvent et plus ouvertement, c’est assurément parce qu’il est un homme bien élevé. L’entraîneur argentin eut notamment l’extrême indélicatesse de ne pas le titulariser lors du dernier match de la saison, qui devait être celui de ses adieux, le 24 mai 2003. La rencontre se déroulait à la Beaujoire et l’adversaire était, clin d’œil du destin, l’Olympique de Marseille. Il semblait dit que l’histoire allait se terminer comme elle avait commencé car les cris de la foule résonnèrent si fort et les banderoles devinrent si explicites que Marcos, à la 58è minute, fut bien obligé de faire entrer le Roumain. « Merci Viorel, nous on n’a pas oublié » proclamait un écriteau, près duquel un autre implorait « Coco reviens, ils vont tuer le FCN ». Moldovan ne marqua pas, Nantes l’emporta quand même, but de Quint à la 84è minute et quand le coup de sifflet final fut donné Nicolas Gillet hissa Viorel sur ses épaules pour lui faire accomplir un tour d’honneur aussi émouvant qu’applaudi.

Le retour en janvier 2004
Les joueurs avaient mieux perçu l’importance dans le jeu et les qualités morales du Roumain que son entraîneur. Et probablement que ses dirigeants. Moldovan, la mort dans l’âme, s’était résolu à partir et il avait signé un contrat juteux aux Emirats Arabes. Il apprit trop tard qu’Angel Marcos avait été débarqué au profit de Loïc Amisse, lequel aurait bien aimé le voir rester. « Mais j’ai donné ma parole, je ne peux pas revenir dessus, » expliqua Viorel.
L’argent cependant ne fait forcément le bonheur, surtout quand on possède déjà un solide compte en banque. Le Roumain s’ennuya très vite aux Emirats et, poussé par la nostalgie d’un bonheur perdu, il revint hanter les couloirs de la Beaujoire. Nantes marquait peu de buts, on finit par lui proposer un contrat. Il accepta d’être rétribué au rendement, c’est à dire au match. Son grand retour s’effectua en janvier 2004 et il recommença à jouer comme s’il n’était jamais parti.

11 buts en 12 matches
Il se fondit immédiatement dans un collectif qui pourtant ne tournait pas forcément très rond et, surtout, il tourna à l’effarante moyenne d’un but par rencontre. Nantes retrouva son sourire et regagna des places au classement. Au bout de trois mois d’embellie, Viorel vit toutefois sa réussite diminuer. Il s’essouffla et, preuve de son influence, Nantes recommença à décliner avec notamment une défaite en finale de la Coupe de la Ligue où Moldovan ne fut pas déterminant. Ses muscles avaient recommencé à le tirailler, ils lui gâchèrent sa fin de saison.

Il avait tout de même signé 11 buts (autant qu’en 2001) en 12 matches et peut-être aurait-il été judicieux de lui proposer une prolongation. Le projet ne fut pas réellement abordé et Viorel préféra s’en aller, pour de bon cette fois, au Servette de Genève. La faillite de ce club vient de le pousser à mettre fin prématurément à sa carrière. Il n’a pas encore 33 ans mais aucune des rares offres qu’il a reçues ne l’a réellement séduit.

Viorel Moldovan tourne donc la page, il n’a laissé que de bons souvenirs à Nantes, avec deux arrivées tonitruantes et deux départs, hélas, sur la pointe des pieds. Dans un contexte épanouissant, il s’était défait de son âme de mercenaire, il était presque devenu un modèle de fidélité. Il avait trouvé le bonheur.

Il est des grands clubs qui auraient l’idée d’organiser un jubilé pour honorer un buteur et un joueur de cette envergure.

B.V.

Le 1er match de Moldovan à Nantes.
Le 19 août 2000 : Nantes bat Marseille 3-2. 35.000 spectateurs. Arbitre : D. Ledentu.
Buts pour Nantes : Olembé (29’), Fabbri (76’), Moldovan (90’+3). Pour Marseille : Jérôme Leroy (22’), Marcelinho (64’). Entraîneur : Denoueix.

Nantes : Landreau - Laspalles, Savinaud, Fabbri, Mario Silva (puis A. Touré (73’) - Berson, Olembé, Carrière, Ziani - Da Rocha (puis Ahamada, 84’), Monterrubio (puis Moldovan, 66’).
Marseille : Trévisan - Z. Camara, N’Gotty, Gallas - Brando, J. Leroy, Ingesson, Dos Santos - _ Adriano (puis Abardonado, 74’), Marcelinho (puis Belmadi (82’) - Bakayoko. Entraîneur : Abel Braga.

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B.V., le 8 février 2005.


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