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Jean-Michel Aulas aime la discrétion, pas le fric.
(Chronique, le 13 avril 2005)

 

Nous avions publié un article sur ce que nous appellions le système Aulas, gourou supposé de Jean-Luc Gripond, avant le match du week-end dernier dans le but de montrer que nous ne voulions pas de cette politique là pour le FC Nantes. Cet article : « Le système Aulas c’est le pèze comme Bez », son auteur et FCNantes.com ont été violemment pris à parti par certains supporters Lyonnais, prétextant la diffamation et l’appel à la haine, rien que ça, sur les forums de FCNantes.com et du site officiel de l’OL. Les débats ont ainsi souvent dégénéré et nous ont inclinés à la clôture de la discussion. Il était malgré tout normal que nous apportions quelques précisions ou démentis, puisqu’on nous le demandait parfois gentiment.

(© 2005) (http://www.fcnantes.com/articles/050413AulasSuite.php)

(comme il est fait parfois référence aux échanges qui ont eu lieu sur le forum de FCNantes.com, vous pouvez vous reportez à ceux-ci >>>, ou encore consulter les réactions sur le forum du site officiel de l'OL >>>. Vous trouverez l'article incriminé ici >>>)


Jean-Michel Aulas, le pauvre, est sur le gril, du moins l’article le concernant, pourvu que le bûcher n’ait pas été allumé avec des billets de 50 euros. Côté lyonnais en tout cas, on nous demande quelques précisions, on dirait même que ce sont des explications. C’est avec plaisir que nous les apportons.

La référence Tapie
Commençons donc par le commencement et l’arrivée d’Aulas à l’OL. C’est effectivement à la suite d’une interview de Tapie par un journaliste du « Progrès » que les premiers contacts furent établis. On avouera que dès le départ JMA a bénéficié ainsi de l’appui d’un parrain particulièrement éclairé. Comme chacun sait en effet, Tapie a horreur de l’argent et il n’a jamais été mêlé dans la moindre affaire suspecte. Ce n’est certes pas lui, dont l’une des entreprise s’appela « La Vie Claire », qui aurait eu l’idée de faire pression sur un arbitre ou, pire, sur un adversaire. Francisque Collomb, alors maire de Lyon, se déclara lui aussi favorable à Aulas, c’est également exact. Mais après tout, n’est-ce pas Defferre qui avait chapeauté Tapie pour qu’il entrât à l’OM, sur les conseils de son épouse Edmonde Charles-Roux ? Loin de nous, d’Aulas et de Tapie, l’idée de mélanger la politique et le foot ! On ne voit cependant pas très bien les apports de ces précisions à notre article. Aulas a pris le pouvoir à la hussarde, en bénéficiant de solides appuis, on n’a pas écrit autre chose.

Tiens, la Socpresse
Pour ce qui est de ses affirmations sur « le Progrès », en somme sur la grande presse et la petite presse, on les abandonnera sans regrets à notre correspondant qui s’aventure sur ce terrain-là. D’abord parce qu’on ignore sur quelles bases il procède à cette discrimination entre différents journaux. C’est sans doute comme pour les clubs : il y a les petits et les grands. Et le super grand aussi, à ses yeux il ne peut s’agir que de l’Olympique Lyonnais. D’ailleurs, on pense que du temps du père d’Aulas « le Progrès » était un quotidien plutôt remarquable. Sa qualité, et son audience par la même occasion, ont notablement baissé depuis qu’il est passé, voyez-vous ça, sous la botte de Hersant, autant dire de la Socpresse. Sa situation a encore empiré après la mise en place, l’an passé, de la nouvelle formule dont l’objectif principal consiste apparemment à donner le moins de lecture possible à ses lecteurs. Les résultats ne sont guère concluants.

Partisan de la liberté de la presse ?
Nous n’avions pas cité le magazine qui a eu quelques menus différends avec Aulas, on ne saurait donc nous accuser de lui faire de la publicité. Ni donc de souscrire à ses affirmations. Simplement, les procès d’Aulas semblent indiquer qu’il n’est pas précisément un partisan convaincu de la liberté de la presse, dès lors qu’elle n’abonde pas dans son sens. Sans vouloir défendre « Lyon Mag » (mais oui, c’est bien lui), on voudrait tout de même préciser que ce n’est pas parce qu’un journal a de nombreux procès qu’il est automatiquement fouille-merde. Il suffit souvent d’écrire quelques vérités qui déplaisent aux riches ou aux hommes de pouvoir. On ne saurait ainsi mettre dans le même sac des revues comme « Gala » et les magazines de Jean-François Kahn, « L’Evénement du Jeudi » hier, « Marianne » aujourd’hui, lesquels sont des habitués des prétoires. Il faut bien se rendre compte que pour les puissants, les multinationales, multiplier les procès contre une revue est un moyen pour l’affaiblir économiquement. Et donc pour la faire reculer. Mais, répétons-le, on ne prend pas parti pour « Lyon Mag ».

Devant les micros à Gerland
Ni pour Aulas, vous l’avez compris. Et comment ne pas admettre que cet homme est la discrétion personnifiée ? Il est évident qu’on ne l’entend pratiquement jamais, ni à la télé, ni sur les radios. Et puisqu’on nous invite à fournir des précisions sur la façon dont se passent les après-matches à Gerland, les voici. Après la rencontre et dans un délai relativement bref (les conventions prévoient un quart d’heure), l’entraîneur se rend dans une salle de presse pour répondre aux premières questions. Il existe parallèlement une zone d’interviewes, un long couloir séparé par une corde derrière laquelle s’agglutinent les représentants des médias. Ils s’y regroupent dès qu’ils en ont terminé avec Le Guen. Les joueurs, dont les vestiaires débouchent dans ce couloir, passent entre un mur et la corde, donc devant les journalistes. C’est pas très convivial, ça fait un peu zoo, on se demande lesquels vont envoyer des cacahuètes aux autres. Passons. Eh bien, c’est un pur hasard si, les soirs de victoire surtout, le sieur Aulas pousse le premier la porte du vestiaire lyonnais et se retrouve ainsi face aux micros et aux stylos. Et, quelle malchance, certains se tendent vers lui. D’autant plus facilement que pour certains, le temps presse. Alors, Aulas, par pure politesse, se fend de quelques déclarations. Cela l’embête, il n’a vraiment pas fait exprès de sortir avant ses joueurs, mais il aime tellement rendre service ! On ajoutera que, certaines fois, il prend soin de se présenter avant son entraîneur. Là encore, c’est -uniquement par pure inadvertance.

Un avis technique ? Jamais
Evidemment, il ne proclame jamais le moindre avis technique, il faut qu’on se le tienne dit une fois pour toutes. Ce n’est pas son genre. Il laisse ce domaine à son entraîneur, lequel, en contre partie, est invité à ne pas parler de la gestion. Tenez, voici des exemples, piochés dans « L’Equipe ». Le 6 avril 2005, Aulas dit : « Je veux croire que l’équipe qui joue le mieux au football passera face à une équipe d’Eindhoven qui est vraiment la reine de l’obstruction ». Le 20 mars 2005, Aulas déclare : « Autant que les trois points, c’est la qualité montrée par l’équipe et la maîtrise tactique qu’elle a développée que je retiens ». Le 9 mars 2005, il affirme : « Heureusement nous avons fait un match quasiment parfait en démontrant une remarquable maîtrise tactique ». Le 19 février 2003, il estime : « C’était une rencontre trop hachée. On a plus réagi qu’agi ». Le 20 novembre 2004, il confie : « Quand on regarde la possession de la balle qui a été supérieure à 65% en notre faveur, on pourrait regretter de ne pas avoir pris les trois points ». le 26 février 2004, il susurre : « on a senti l’OL physiquement et tactiquement bien en place, très au point. » Pas une seule fois, c’est une évidence, il n’évoque la tactique ou la manière de jouer.

Pas un mot sur l’arbitrage
Jean-Michel Aulas ne parle pas non plus d’arbitrage, c’est une autre évidence. Ce n’est pas lui qui soulignerait une éventuelle erreur. Ainsi, toujours dans « L’Equipe », on lit. Le 5 mars 2005 : « J’ai demandé à être convoqué devant la commission d’éthique avec l’arbitre et le délégué du match. Je souhaite que plus jamais ce genre de décision ne se prenne. On pénalise toujours les meilleurs, par jalousie ou pour provoquer des difficultés artificielles au leader ». Le 19 février 2005, il assène : « Il y a quand même eu deux grosses fautes d’arbitrage en notre défaveur ». Le 31 octobre 2002, il déclare, comprenne qui pourra : « Je sais que la Grèce a des problèmes mais ce soir nous payons cash une très grosse erreur d’arbitrage ». Le lendemain, l’OL publie un communiqué : « JMA a annoncé avoir demandé à l’UEFA d’ouvrir une enquête sur le juge de touche qui a refusé un but valable à Sonny Anderson ». Mais que tout le monde comprenne bien : ce n’était évidemment pas pour solliciter une sanction contre cet arbitre, Aulas ne mange pas de ce pain-là. On se demande même s’il n’a pas agi de cette façon pour rendre service à l’UEFA.

Pas un matamore, même contre Denizlispor
Aulas n’est pas non plus un matamore, c’est entendu. Combien de fois a-t-il proclamé au cours de la saison 2000-2001 « on va rattraper Nantes et le coiffer sur le poteau ?» Pas plus d’une dizaine. On sait ce qui arriva. Mais son record dans le genre, celui qui fait encore s’esclaffer la France du foot, remonte à novembre 2002, époque où il était vraiment en forme. L’OL venait alors de se faire sortir de la Ligue des Champions. Eh bien, Aulas assura, sans sourciller et sans rire, que c’était presque une aubaine puisque cette élimination allait lui permettre de jouer et de gagner la Coupe de l’UEFA. « C’est désormais notre objectif, clama-t-il, tous les joueurs doivent se mobiliser pour l’atteindre. » Au tour suivant, Lyon fut éliminé . Mais il possédait de solides excuses, on le concède : il affronta la terrible équipe de Denizlispor dont l’attaque de rêve Ozkan – Bencik fit des misères à la défense lyonnaise, les Turcs se qualifiant 1-0 à Gerland, but du « Galactique » Ozkan. Le titre de « L’Equipe » du lendemain était : « Un champion ridicule ». Son président n’était bien sûr pas concerné.

La « finale » de 2002
Nous avons évoqué également la « finale » du championnat 2002 entre Lyon et Lens. Cette saison-là, Aulas ne s’était pratiquement jamais plaint de l’arbitrage. Pas plus d’une vingtaine de fois en tout cas. Eh bien, la semaine qui précéda le match, il mit l’accent sur la qualité de l’arbitre qui avait été choisi. « Enfin, un bon arbitre ! Avec lui, on est tranquille» dit-il. Il avait totalement oublié le très « léger » litige qui l’avait opposé au même arbitre quelques mois plus tôt. Tout était effacé. Lyon mérita sa victoire, 3-1. Toutefois, juste après la reprise, à 2-1 pour l’OL, le Lensois Moreira fut victime d’une intervention suspecte dans la surface. L’arbitre laissa jouer, ce qui était son droit. Mais n’y avait-il pas faute ? Le commentaire de « L’Equipe » le lendemain : « Cela se joua à deux fois rien car Bréchet toucha le ballon et la cheville de Moreira sur un tacle dans la surface que les Nordistes jugeront litigieux ».
Il est clair aussi qu’au cours de ce match, comme durant les précédents, Warmuz fut médiocre et Coupet excellent et que cela assura une grosse partie de la différence. Il s’agit d’un constat pas d’une accusation contre quiconque, même pas contre Warmuz.

Govou, Wiltord, Loko, Pedros
Pour ce qui est de Govou, on admet bien volontiers avoir écrit trop vite. Cet ancien joueur du Puy a été formé par Lyon. Mais Aulas a acheté tant et tant de joueurs que l’erreur est presque pardonnable. Govou, c’est en quelque sorte l’exception qui confirme la règle et notre liste se voulait surtout favorable au président lyonnais. Mais si mais si, puisqu’on évoquait des joueurs qui ont réussi à l’OL. On n’avait pas eu la traîtrise de parler de Loko ou de Pedros qui, on n’en doute pas, ont laissé à Gerland des souvenirs proportionnels à leurs émoluments. Pareil avec Wiltord : quelle erreur nous commettons en prétendant qu’il coûte cher! C’est bien simple : sa prime à la signature et son salaire étaient si peu élevés que les autres clubs n’y croyaient pas, qu’ils ne pensaient pas à le contacter, et qu’il a fallu, l’été dernier, attendre fin août pour que l’OL, comprenant qu’il ne pouvait laisser s’enterrer un tel talent, tente sa chance. Aulas a en quelque sorte récupéré, que disons nous : sauvé, pour rien, pas plus de quelques millions d’euros en tout cas, un attaquant que plus personne ne connaissait... C’est bien ça, le film ?

Pros et amateurs
D’autre part, quelques Lyonnais nous traitent d’amateurs. En somme, on en revient au débat : grands et petits clubs. Mais qu’est ce que ça veut dire amateur et pro, à part souvent, tiens, les aspects financiers ? N’existe-t-il pas des pros qui se comportent comme des amateurs et des amateurs qui sont de vrais pros ? On peut même penser que des amateurs s’exprimant sur un site indépendant bénéficient de davantage de liberté, dans le ton, dans l’esprit, et donc dans le plaisir, que des pros sur un site officiel, où ils sont forcément sous les ordres d’un patron généralement peu enclin à les voir exprimer la moindre restriction.

Prix Albert Londres en vue
Un certain Scott nous abreuve de leçons. Nous les acceptons volontiers, tellement il est clair que nous n’arrivons pas à ses chevilles, lesquelles d’ailleurs nous paraissent suffisamment enflées pour que ne nourrissions pas l’audace de les dépasser. Restons modestes : nous ne sommes transcendés ni par sa qualité d’écriture ni par sa hauteur de pensées, nous demeurons des apprentis face à ce maître, il n’est d’ailleurs pas besoin de chercher à deviner plus longtemps le récipiendaire du prochain prix Albert-Londres : il sera pour lui.

Mince, pas le champion du foot-business ?
En revanche, avouons-le, nous sommes un peu choqués quand on nous reproche de considérer que JMA est le champion du foot-fric. Tout simplement parce que lui-même s’en glorifie. On a les plaisirs que l’on peut. Mais dénier ce titre à Aulas et à l’OL, n’est-ce pas leur faire injure ? On s’en gardera bien.
Nos allusions à la pauvreté (technique et imaginative s’entend!) du jeu lyonnais concernaient, elles, l’équipe d’avant 2002. C’était clairement exprimé. Depuis, l’OL joue un football dont la qualité s’est nettement améliorée. Il était écrit dans notre article, texto : « Lyon est devenu une équipe beaucoup plus joueuse et donc redoutable, voire séduisante. » Cette évolution nous semble toutefois davantage due à Paul Le Guen qu’à son président qui, pour une fois, on maintient, a choisi, sur les conseils de Lacombe, un entraîneur de valeur. Eh bien voilà : tout n’est pas noir.

Mais non, l’argent n’est pas sale
L’argent, nous écrit un correspondant, n’est pas sale. C’est vrai, surtout quand on en a. Il paraît même qu’il n’a pas d’odeur. Et puis ne permet-il pas de tout acheter, y compris les hommes ? C’est pratique. On a les veaux d’or que l’on mérite, libre à chacun de se prosterner devant eux. Tous les goûts, c’est heureux, sont dans la nature. On peut donc faire de l’argent le but suprême de sa vie. On peut aussi préférer un affairiste à un artiste, un banquier à un génie. Mais nous avons la faiblesse, et le droit, de dire, d’écrire, et même de croire que d’autres partagent cette préférence, qu’entre José Arribas et Jean-Michel Aulas, c’est le premier que nous aimons le mieux. Il nous semble que ses idées et la philosophie de son jeu, reprises par Suaudeau, étaient un peu plus nobles et qu’il cherchait à améliorer les hommes plutôt qu’à les acheter. Maintenant, nous respectons tout à fait ceux qui adorent Aulas, même que pour être franc, nous le leur laissons volontiers.

Bez était puissant et adulé
Un mot pour terminer sur le parallèle Bez-Aulas. Beaucoup de Lyonnais nous reprochent cette comparaison avec leur président et un homme qu’ils traînent volontiers, eux-mêmes, dans la fange. Un simple rappel. Au faite de sa gloire, mettons en 1987-88, Bez n’était le sujet d’aucune critique, surtout pas de la part des conformistes. Son club venait de conquérir un troisième titre de champion de France en quatre ans (le précédent remontait à 1950, l’année de la création de l’OL) et de disputer une demi-finale de coupe d’Europe face à Eindhoven. Il dirigeait à Bordeaux le cabinet d’expert-comptable le plus florissant de la ville, il était louangé pour ses talents d’homme d’affaire, il était influent à la Ligue dont le président le craignait, les télés étaient à sa botte, l’argent coulait à si gros flots que sa source semblait intarissable. Il diversifiait son club, parce que disait-il, il faut engranger de l’argent dans d’autres domaines que le foot. Il avait donc fait acheter un hôtel, des immeubles, il avait créé une radio, un magazine, il voulait lancer une société de télé qui aurait revendu les images aux autres chaînes. Il était tout puissant. On ne souhaite bien sûr pas à JMA de connaître une aussi triste fin que celle du moustachu girondin et on n’entretient réellement aucune suspicion concernant ses activités professionnelles. Cependant, restons-en au football, l’édifice OL ne nous paraît pas forcément plus solide que celui des Girondins de cette époque. Même si, Aulas et ses copains du G14, qui s’autoproclament les clubs les plus riches ( ?) du monde, ont eu la prudence de faire passer à trois ou quatre le nombre des qualifiés de leurs pays pour la Ligue des Champions. Le garde-fou est-il suffisant ? L’OL survivrait-il à une série de revers ?


B.V.





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