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Salades Niçoises
(Chronique, le 6 mai 2005)
Copyright www.magixl.com
 


L’OGC Nice a profité de la mini-trêve pour changer d’entraîneur. Gernot Rohr, qui prônait un style engagé, a été remplacé par Gérard Buscher dont les méthodes ne semblent guère différentes. Il reste qu’on peut estimer que les dirigeants azuréens ont fait preuve d’une rare ingratitude en se séparant d’un technicien qui avait tenu un rôle très important dans le sauvetage réalisé en 2002. Et qui ensuite avait réalisé deux bonnes saisons. Reste à savoir si ce changement va fissurer l’équipe niçoise ou la ressouder… (B.V.)

(© 2005) (http://www.fcnantes.com/articles/050506SaladesNicoises.php)


Autant le reconnaître sans détour : Gernot Rohr ne fut pas un joueur que nous avons aimé. Défenseur impitoyable sous les couleurs de Bordeaux, il fut même un véritable « tueur », capable de casser délibérément un attaquant et de prétendre ensuite, ingénument, un doux sourire aux lèvres, que c’est le jeu qui voulait ça et qu’il ne l’avait surtout pas fait exprès. Pour un peu, trop poli pour être vraiment honnête, il aurait fait expédier des fleurs et ses excuses au chevet de sa victime. Il nous souvient ainsi d’un Bordeaux – Saint-Etienne où ses agressions répétées et caractérisées sur Dominique Rocheteau furent d’autant plus scandaleuses que l’arbitre l’avait laissé agir à sa guise, sans oser le renvoyer au vestiaire.

Amisse le mystifiait
Pour sa part, il disait simplement qu’il était un joueur de devoir, on n’ose écrire de consigne car on voudrait croire qu’il existe peu d’entraîneur pour demander à un garde chiourme de briser sans pitié la trajectoire des artistes.

Aimé Jacquet était alors le coach des Girondins et il souffrait sans doute de voir comment, lors de chaque rencontre face à Nantes son arrière droit était mystifié par le feu follet jaune, un Canari court sur pattes mais rapide, bond dribbleur et expert en centres en retrait, il s’appelait Loïc Amisse. Les tacles que Rohr décochait rageusement s’égaraient toujours dans le vide, le petit Lolo les esquivait prestement et il taillait de larges brèches dans la défense girondine. « Mémé Percussion » finit par trouver la parade en déplaçant Thouvenel du côté du lutin du FCN : sa morphologie et sa vitesse de course lui permettaient de mieux contrôler les actions de l’ailier gauche des Canaris et d’atténuer les ravages.

Il « assassine » Giresse
Gernot Rohr se « distingua » encore au cours d’un Bordeaux – Marseille de sinistre mémoire. Alain Giresse, le maître à jouer girondin, était alors passé dans les rangs de l’ennemi marseillais, Claude Bez lui en voulait à mort et il demanda à son rugueux défenseur de le suivre à la culotte et de l’empêcher de passer. Par n’importe quel moyen. Rohr était devenu « l’homme du président », il s’acquitta de sa funeste mission d’autant plus farouchement qu’il vouait à Giresse une haine farouche, attisée par des différends commerciaux relatifs à l’exploitation de camps de vacances situés en bordure de l’Atlantique.

Leader syndical
Vous l’avez compris, ce Rohr-là ne nous était guère sympathique et le début de sa carrière d’entraîneur, à Bordeaux évidemment, ne contribua pas forcément à améliorer son image. Sous sa férule, les Girondins n’hésitaient pas à mettre la semelle. Mais la nature humaine n’est pas une palette uniforme, elle comporte plusieurs facettes, et il arrive que les plus vilaines en dissimulent d’autres infiniment plus reluisantes.

C’est un autre Gernot Rohr qui se révéla à Nice, durant l’été 2002. Plongé dans la tourmente, l’ancien guerrier de choc se transforma, au plus fort de la tempête, en leader syndical à la fois charismatique et humaniste. Le club azuréen connaissait alors une situation paradoxale. Exsangue financièrement car il avait été la proie d’investisseurs désireux d’engranger un maximum de bénéfices, il marchait bien sportivement. Il venait de gagner sur le terrain son billet de retour pour la Division 1 qu’il avait quittée cinq ans plus tôt. Le scénario avait été ensuite on ne peut plus classique.

La valse des repreneurs
La municipalité niçoise, peu experte en football mais lasse de verser des millions à fonds perdus, avait cherché un repreneur et choisi le plus baratineur, lequel n’est pas forcément le plus compétent. Il s’agissait en l’occurrence de Milan Mandaric. Cet industriel américain n’avait pas fait vraiment de vieux os sur la Promenade des Anglais, il avait revendu le bébé à des Italiens, notamment les propriétaires de l’AS Rome qui, ah comme ce n’est pas bizarre, avaient été également en contact avec le FCNA avant que ce dernier ne tombe dans l’escarcelle de la Socpresse. Mais la situation n’était guère florissante à Nice, surtout en D2 où les droits télés n’ont rien d’astronomiques, et les Italiens avaient fini par se retirer, laissant la place à une cohorte d’affairistes menée par le Marseillais Jean-Christophe Cano. Ils étaient cinq, situation qui réduit singulièrement les parts à l’heure du partage du butin et l’expérience avait duré seulement quelques mois. Au soir même du match de la remontée en D1, Cano avait disparu du paysage. Le déficit atteignait 30 millions de francs.

Nice interdit de montée
C’était largement suffisant pour faire sourciller la DNCG. Celle-ci, volontiers impitoyable envers les « petits », ne s’attaque en principe jamais aux « gros ». Elle produit surtout du vent, annonçant à grands coups de trompette des rétrogradations sur lesquelles elle revient deux ou trois semaines plus tard, quand on lui présente de « nouveaux » chiffres. Elle essaie de faire un peu peur et puis elle s’écrase mollement, on l’a bien vu encore avec Monaco, à la fin du règne Campora. Avec Nice, elle s’était dit qu’il n’y avait guère de remous à craindre et donc peu de danger. Alors, en juin 2002, elle prononça sa sentence : non seulement l’OGCN était interdit de monter en D1 mais il était rélégué en National. Le club fit, comme tout le monde : appel. Mais la DNCG maintint sa décision.

Ils s’entraînent sans être payés
C’est alors que Gernot Rohr monta au créneau. Arrivé à Nice un an et demi plus tôt pour y occuper un vague poste de coordinateur technique, il venait d’être nommé entraîneur à la place de Sandro Salviani, le coach de la montée. Quand Maurice Cohen, appelé à la rescousse pour succéder à la bande à Cano, lui avait annoncé son salaire en D1, Salviani s’était excusé : « Je crois qu’on a besoin de moi en Italie, » avait-il dit. Rohr, lui, avait accepté. Et pendant que Cohen, propriétaire d’une agence de communication basée à Monaco, s’appliquait à réunir quelques fonds, le nouvel entraîneur avait battu le rappel des troupes.
« Reprise de l’entraînement le 2 juillet » annonça-t-il. « Mais coach, on nous a dit qu’on ne serait plus payé après le 30 juin… » objectèrent les joueurs. Rohr parvint à les convaincre de se remettre tout de même au travail et surtout de ne pas chercher d’autres clubs. Mieux, il réussit, sous forme de prêt, à en attirer de l’extérieur, tels Grégorini, Abardonado et le Rennais Bigné.

La DNCG recule
Et puis, avec José Cobos, Valencony et Nogueira ils n’hésitèrent pas à se rendre à l’assemblée générale de la Fédération, à Lyon, pour y être reçus par les pontes de la FFF. Ces derniers n’en revenaient pas : diantre des joueurs attachés à leur club, acceptant de s’entraîner sans percevoir de salaire, ils ne soupçonnaient même pas, du haut de leurs somptueuses notes de frais, que pareils phénomènes puissent encore exister. Les joueurs firent mieux : « On est prêt à renoncer à nos primes de montée » décidèrent-ils. Ils acceptèrent aussi de diminuer leurs salaires et bientôt un véritable courant de sympathie se forma autour d’eux. De la part des supporters d’abord, des politiques ensuite qui se montrent toujours prompts à monter dans un tel train, dès lors qu’ils perçoivent qu’il y a quelques voix à en tirer. Le maire de Nice, Jacques Peyrat, trouva soudain le moyen de débloquer une somme, il promit aussi un stade neuf pour 2005. La Fédération finit par comprendre que Nice représentait une force plus conséquente que prévu et comme le Comité Olympique avait décrété recevable l’appel de l’OGCN, la DNCG enclencha prudemment la marche arrière. Quinze jours avant le début du championnat, les Aiglons reçurent le feu vert pour partir en D1. Au grand dam des Messins qui croyaient qu’ils allaient être repêchés.

Une bande très soudée
Tout le monde pensa que Nice n’avait bénéficié d’un sursis que pour mieux sauter quelques mois plus tard. Les pronostiqueurs se montraient quasi-unanimes : cette équipe de seconds couteaux était vouée à la descente. Gernot Rohr accomplit alors un nouvel exploit. Il fédéra les joueurs autour de lui et en fit une bande qui n’était pas forcément agréable à voir jouer mais qui engendrait la joie de vivre. Et en tout cas qui savait se serrer les coudes, comme si la peur du chômage lui avait donné une puissance collective supérieure aux autres. Sur le terrain, les Niçois faisaient corps, ils défendaient leur camp pied à pied, ils se battaient et ils arrachaient des résultats. De plus, ils conservaient un véritable visage humain : ils rencontraient leurs supporters, répondaient présents quand une fête était organisée en leur honneur, ils allaient jusqu’à visiter des prisons. Beaucoup plus que les autres footballeurs, ils semblaient connaître la vraie vie et ne pas s’inscrire en marge, dans des coquilles dorées. Et tout cela grâce à Rohr. A Cobos aussi qui avait décidé de rendre joyeuses les dernières heures de sa carrière.

Les dirigeants fragilisent l’entraîneur
Nice, à la surprise générale, tint les premiers rôles durant toute la saison 2002-2003. Chaque semaine, on annonçait son écroulement et à chaque fois les Aiglons repoussaient l’échéance.
Le miracle recommença en 2003-2004 et on a cru que cette saison encore les Aiglons allaient suivre une route tranquille. Leur football, il faut le reconnaître, n’avait toutefois rien d’économique, il était essentiellement axé sur le calcul, la défensive et l’engagement physique. Rohr entraîneur n’était pas parvenu à couper totalement les ponts avec le joueur qu’il avait été.
Les limites de la méthode ont fini par rattraper les Niçois. Mais il faut dire que les dirigeants y ont largement contribué en s’évertuant à semer la pagaille et à fragiliser la position de Rohr. Celui-ci, en 2002, avait hérité de pratiquement tous les postes techniques. Forcément, puisqu’il n’y avait aucun candidat. Or, sa réussite avait fini par susciter les jalousies, celle de Maurice Cohen en premier lieu qui aurait bien voulu que l’on parlât davantage du président que de l’entraîneur. Entre les deux hommes, la querelle larvée tourna à une franche opposition, le président s’efforçant de diminuer sans cesse les prérogatives et l’influence de son coach. Il lui reprochait notamment de se prendre pour le manager et de s’être trompé dans son recrutement.

L’union sacrée se fissure
Il était clair que le sort de Rohr était scellé et qu’il n’irait pas au-delà de la présente saison. Quelques joueurs, les plus anciens surtout, paraissaient pourtant faire corps avec lui et l’union sacrée qui faisait naguère la force de l’OGCN s’est lentement fissurée. La situation au classement s’est détériorée et Cohen a décidé d’accélérer la procédure de divorce. Il a viré Rohr en début de semaine dernière. L’une de ses premières précautions fut de demander aux joueurs de ne pas s’épancher dans la presse. Cela valait peut-être mieux. Car on se permettra de considérer que Rohr, que nous n’admirons pas, répétons-le, a été victime d’une ingratitude rare.

Son successeur, Gérard Buscher, qui fut brièvement Nantais il y a vingt ans, croit pourtant à l’électro-choc. En tout cas, il n’a pas hésité à passer de l’équipe de CFA à celle de Ligue 1. Il promet du changement et un style plus entreprenant. On verra bien. Il parle aussi de s’engager physiquement à fond. C’est peut-être une manière de vouloir effrayer l’adversaire, Nantes donc pour commencer. Mais il serait exagéré de prétendre que cette méthode changera beaucoup par rapport à celle prônée par Rohr. Le football de muerte, les Niçois connaissent.


B.V.

le 6 mai 2005.



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